Pendant longtemps, Philippe et sa femme, Florence, ont vécu pas très loin de chez moi à Pompadour. On se croisait souvent. Puis ils ont repris une entreprise à Limoges et s’y sont installés avec leurs enfants. On les voit encore à Pompadour, lorsqu’ils ont le temps d’y venir.
C ‘est compliqué de choisir un souvenir. Il y en a qui remontent à l’enfance, dans le jardin de ses grands-parents, dans celui des miens, dans leur maison de Chenours, à Paris ou ailleurs. Il y en a de très récents, il y a des réveillons, des soirées, des dîners au restaurant, des parties de pêche, des fêtes, des mariages, des repas de quartier, des tournois de tennis, des journées aux Courses, des rencontres prévues ou fortuites.
Et quand on ne se voit pas pendant un moment, j’ai toujours des nouvelles fraîches de Philippe, soit parce que je croise sa mère, soit parce qu’un ami commun m’en donne.