Sophie Robert

8 Jan 2014 | Portraits | 0 commentaires

Sophie, c’est un longue histoire. L’école, bien sûr (on jouait déjà ensemble dans la cour), puis les journées à la piscine, tous les étés, pendant une grande partie de l’enfance et de l’adolescence (le maître-nageur était son frère, Gérard).

Puis les soirées, les boums ratées chez moi, les sorties en boîte en mobylette. Puis les journées chez elle, avec Olivier Villepreux et d’autres amis. Les journées en bande avec, selon les époques, Anne Poncharral, Annick Marsac, Laurence Delarue, Eric Berland, Philippe Bayle, Vincent Maury, Catherine Juge, Jean-Luc Broyon. Puis Radio PAC, où elle a démarré avec nous.

Bref, Sophie et moi on a longtemps fait partie de la même bande. Ensuite, elle est partie vivre à Montauban, où elle était assistante sociale.

Evidemment j’ai été amoureux de Sophie, comme 99% des garçons de Pompadour. Mais c’est Olivier Villepreux qui est arrivé et qui a brisé mon rêve. Il est devenu mon meilleur ami. Comme quoi je ne suis pas rancunier. Ou bien je n’étais pas amoureux, on ne saura jamais…

Plus tard encore, Sophie s’entendait très bien avec Anne Barthélemy, ma femme (c’est étrange de l’appeler Anne Barthélemy, mais c’est pour qu’un lien soit créé automatiquement lorsque je publierai sa fiche). Nous avons donc continué à nous voir.

La dernière fois que j’ai vu Sophie, c’est il y a 4 ou 5 ans. Je passais une semaine de vacances à Pompadour avec Patrick Bideault. Il était venu avec ses filles et moi j’avais les miennes. On passait nos journées à faire les courses, les repas, la vaisselle, le ménage, la lessive.

Un soir, on a invité Sophie. On a dîné tous les trois sous mon tilleul. Je me souviens qu’on a parlé longtemps des pommes Golden, largement cultivées autour de chez moi à grands renforts de pesticides. Elle était pour leur interdiction, car la Golden est une espèce introduite récemment, donc artificielle. Moi je trouvais que le problème ce sont les pesticides, pas les Golden.

Maintenant, j’ai des nouvelles par ses parents, qui vivent une partie de l’année à Pompadour. Je rencontre souvent son père aux Remparts, où il aime bien venir le matin, aux heures où j’y suis souvent également.